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Les animaux ne nous appartiennent pas et nous n’avons pas à les utiliser pour nos expérimentations, notre nourriture, nos vêtements ou nos divertissements, ni à leur faire subir la moindre autre forme de maltraitance.

Demandez aux Parques Reunidos de mettre à la retraite Wikie, Inouk et Keijo

Malgré les preuves accablantes de la souffrance des orques en captivité et le fait que l’opinion publique s’est prononcée contre l’enfermement des mammifères marins, Parques Reunidos – la société mère du Marineland d’Antibes en France et du Seaquarium de Miami aux États-Unis – continue de confiner des orques intelligentes et sensibles dans de minuscules bassins en béton.

Il y a plusieurs décennies, Lolita a été arrachée à sa famille et à son habitat naturel à Puget Sound, au large des côtes américaines, avec des dizaines d’autres orques qui ont ensuite été vendues à des parcs marins. Elle était la dernière orque survivante des 45 qui ont été capturées à cet endroit, et a été privée de la compagnie de ses congénères depuis 1980, date à laquelle son compagnon de bassin, Hugo, est mort après s’être frappé la tête contre une paroi à plusieurs reprises. En mars 2023, le Miami Seaquarium avait confirmé son intention de relâcher l’orque Lolita, captive depuis plus de 50 ans, dans un sanctuaire côtier de l’État de Washington dans les années à venir - malheureusement Lolita est morte quelques mois plus tard, sans jamais avoir pu revoir l'océan.

De l’autre côté de l’Atlantique, trois orques – Wikie, Inouk et Keijo – sont toujours piégées au Marineland Antibes, ici en France, où au moins 12 autres orques sont mortes, dont deux en 2015. Quatre mois après la mort de sa mère, Freya, un épaulard de 19 ans nommé Valentin a été tué lors de graves inondations, avec de nombreux autres animaux. En octobre 2023, c'est Moana qui décédait à l'âge de 12 ans.

Les parcs sont une vitrine de la négligence et de la maltraitance : les orques nagent en suivant des parcours répétitifs, vomissent, mâchent les barreaux métalliques des cages jusqu’à s’abîmer irrémédiablement les dents, et se cognent la tête contre les parois en béton de leurs bassins.

Aidez-nous à libérer Wikie, Inouk et Keijo. Demandez à Parques Reunidos et à ses investisseurs de les placer dans un sanctuaire côtier, où elles pourront sentir les vagues de l’océan, entendre les cris des orques sauvages, et enfin avoir un semblant de vie naturelle.

Monsieur
Pascal
Ferracci
Parques Reunidos

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