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Demandez à ces entreprises d’arrêter de vendre du cruel « café de crottes de chat »
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Le kopi luwak ou « café de crottes de chat » est fait à partir des grains de cerises de café qui ont été mangés puis excrétés par une civette palmiste hermaphrodite, ou civette. Pour le produire, des civettes sont capturées dans leur habitat naturel en Indonésie ou achetées dans des marchés d’animaux vivants, puis elles sont confinées dans des cages tristement exiguës et soumises à un régime alimentaire ni sain, ni naturel, composé principalement de baies de café, afin que les producteurs puissent récolter les grains de café dans leurs excréments. C’est une honte, et non un mets délicat.
Une décennie passée à dénoncer la cruauté pour du kopi luwak – et la maltraitance continue
De nombreuses enquêtes de PETA Asie ont montré à maintes reprises les ravages causés par le confinement permanent sur les civettes palmistes hermaphrodites sensibles. Dans les élevages, on les voit souvent faire les cent pas et tourner en rond dans leurs minuscules cages sans aménagements, souvent grillagées. Ce sont les signes d’une détresse psychologique extrême causée par l’angoisse et par la frustration dues à l’emprisonnement.
L’imposture de l’origine « sauvage »
Clients et détaillants sont dupés par des producteurs qui étiquettent délibérément les grains provenant de civettes captives comme étant d’origine « sauvage ». Depuis plus d’une décennie, les enquêteurs de PETA Asie sont confrontés à tous les stratagèmes utilisés par l’industrie du kopi luwak pour tromper le public. Un employé a même déclaré à un enquêteur que « nous l’étiquetons comme "sauvage" même si les animaux sont désormais en cages, car ils ont été attrapés dans la nature. » D’autres producteurs ont ouvertement admis que récolter suffisamment d’excréments de civettes sauvages serait presque impossible. Pour dissimuler cette situation, certains producteurs prélèvent une petite partie des grains de civettes en liberté, les mélangent à des grains provenant d’animaux en cage et étiquettent le produit comme étant d’origine « sauvage ». D’autres ont éhontément déclaré aux enquêteurs qu’ils étiquetaient le café d’animaux en cage comme étant d’origine « sauvage ». L’industrie obtient sciemment de fausses certifications ou du café mal étiqueté provenant d’animaux captifs, qui peut ensuite être exporté dans le monde entier et vendu comme étant d’origine « sauvage ».
La prochaine pandémie se prépare
Les animaux stressés et enfermés en cage dans leurs propres excréments ont un système immunitaire affaibli, ce qui fait de ces structures un vivier pour les zoonoses. Le SRAS, dont le taux de létalité chez l’humain est estimé à environ 15 %, a été transmis aux humains par les civettes. Les scientifiques ont également identifié les civettes comme « hôtes intermédiaires » potentiels pour le COVID-19 : elles ont pu permettre au virus de muter et de passer de la chauve-souris à l’humain.
Il est temps d’en finir
Le kopi luwak est une honte, et non un mets délicat. Peu importe le pays dans lequel vous vous trouvez et ce que l’on vous garantit, n’en achetez ou n’en buvez jamais.
Demandez à Coffee Bean Shop, Harrods, Rich Exclusive Coffee, Sea Island Coffee, The Roast & Post Coffee Co et Bacha Coffee d’arrêter de financer la cruauté envers les civettes en cessant de vendre du kopi luwak dès aujourd’hui :
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